On disait dans le temps des bateaux à vapeur comme le Polynésien, que ce trésor renfermait des fleurs de billets au prix inestimable, transportées alors, en grand secret, par les compagnies maritimes des Indes et de Chine, fleurs de billets amassées lors des pillages de temples bouddhistes par les chrétiens conquérants de l’Asie.
Des fleurs, il y en avait par milliers, tellement les temples, pagodes, grottes en étaient remplis à côté des bouddhas d’or, d’argent, d’émeraudes, de jade, incrustés de diamants, de rubis, tapissés de feuilles d’or par les croyants et leurs bonzes, tout amené ici, sur cette île perdue, dans cette grotte profonde au milieu des eaux tumultueuses.